fils aîné de Claude-Joseph de Chalendar et Jeanne Forel de la Mure
sous-lieutenant au régiment d'Auvergne (Royal Auvergne)
27-11-1745
baptème
04-12-1761
sous-lieutenant au régiment d'Auvergne 1
04-08-1762
décédé à Cassel 2 des suites de ses blessures, à l'âge de 17 ans
second fils de Claude-Joseph de Chalendar et Jeanne Forel de la Mure
né le 28 septembre 1746
décédé à l'âge de 14 ans
troisième fils de Claude-Joseph de Chalendar et Jeanne Forel de la Mure
marié à Catherine-Joséphine de Sigaud de Chadrac
21-09-1747
naissance
22-10-1747
baptème
05-10-1767
sous-lieutenant au régiment d'Auvergne 1
1772
il prend possession de l'héritage familial
26-03-1774
lieutenant au régiment d'Auvergne
17-08-1775
il démissionne de son poste au régiment d'Auvergne
25-03-1779
il est nommé lieutenant des maréchaux de France, au Puy-en-Velay
il exerce cette charge jusqu'en 1790, date à laquelle cette fonction est supprimée
20-08-1779
mariage avec Catherine-Joséphine de Sigaud de Chadrac
1789-1797
pendant la Révolution française, il fut commandant de la garde nationale
puis, membre du directoire du département de la Haute-Loire
18 fructidor an V
(04-09-1797)
coup d'état du 18 fructidor 3
il est incarcéré
Catherine de Sigaud, son épouse, remue ciel et terre pour le faire sortir de prison, et y parvint
le reste de la Révolution s'écoula tranquillement pour lui
1814
à la Restauration, il fait de nombreuses démarches pour obtenir la croix de Saint Louis 4, en vain
02-1820
rédaction d'une lettre, adressée au ministre de la guerre, non datée mais vraisemblablement écrite quelques jours après l'assassinat du duc de Berry 5 (13-02-1820), pour l'obtention de la Croix de Saint Louis
quatrième fils de Claude-Joseph de Chalendar et Jeanne Forel de la Mure
né le 16 avril 1751
émigré
fille aînée de Claude-Joseph de Chalendar et Jeanne Forel de la Mure
née le 26 avril 1749
mariée à Jean-André Veron
baron de Laboriedécédée à Annonay en 1824
capitaine dans la Royal Auvergne
gouverneur de Sainte-Lucie et de la Grenade
maréchal de camp
1 fille : Jeanne-Françoise Veron
née en 1778
élevée à Saint Cyr
mariée à Claude-Victor, baron de la Rochette
morte en 1849, en odeur de sainteté, au château de Plantier (canton de Satillieu)
3 filles :
- Marie-Christophe-Antoinette de la Rochette
mariée le 13 mai 1817 au comte Louis de Monntravel
nombreuse postérité
dont 1 fille mariée à Armand de Pontmartin, le célèbre écrivain
- Clémence de la Rochette
mariée au marquis de Boudans
pas d'enfant
- Jenny de la Rochette
mariée au baron Jules de Veyrac
3 filles :
- la marquise de Boysseulh
- la marquise de Montalet
- la marquise d'Heudicourt de Léoncourt
second fille de Claude-Joseph de Chalendar et Jeanne Forel de la Mure
mariée à Henry Clavel de Veyrans
3 enfants :
- Henry Clavel de Veyrans
- Eugénie Clavel de Veyrans
mariée à M. Sarzier
sans postérité
- Fanny Clavel de Veyrans
mariée à M. de Chabannes
1 fille : Fanny de Chabannes
mariée à Emmanuel Rouveure de Chambonnal
4 enfants :
- Marie Rouveure de Chambonnal
mariée à M. Privat, originaire de Montpellier
1 enfant : le Dr Privat, d'Annecy
- Octavie Rouveure de Chambonnal
mariée au Dr Monard, originaire d'Aix-les-Bains
1 fille : Jeanne Monard
- Eugène Chambonnal
percepteur
marié à Fanny Beynet
- Laure Rouveure de Chambonnal
mariée à Raymond de Jenlis
2 filles :
- Magdeleine de Jenlis
mariée au baron du Plouy
- Claire de Jenlis
troisième fille de Claude-Joseph de Chalendar et Jeanne Forel de la Mure
mariée à Jean-Antoine de Tardy de Montravel, lieutenant-colonel du génie
Ce régiment d'infanterie, créé en 1692, est l'héritier des troupes irlandaises au service du roi de France depuis 1661.
En 1776, les 2ème et 4ème bataillons du régiment d'Auvergne se regroupent sous l'appellation de Régiment du Gâtinais. Celui-ci s'illustre, le 15 octobre 1781 au siège de York-Town, au cours de la guerre d'Amérique. Il reçut alors le nom de Royal-Auvergne.
En 1791, il devient le 18ème régiment d'infanterie
En 1793, le régiment d'Auvergne reçoit le numéro 92 de l'Assemblée Constituante.
Il s'illustrera à Rivoli, Austerlitz, Iena, Wagram et à la Moskova durant le Premier Empire.
" Debout soldats d'Auvergne ! Debout ça va barder !"
"A moi, Auvergne ! Voici, l'ennemi !"
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officier en 1743
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sources :
La guerre de sept ans (1756-1763) opposa l'Autriche, alliée à la France, la Suède, la Saxe, la Russie et l'Espagne, à la Prusse et à l'Angleterre.
Huit ans plus tôt, la guerre de succession d'Autriche avait confirmé Marie-Thérèse de Habsbourg sur le trône d'Autriche, mais avait également aboutit à l'annexion de la Silésie par la Prusse, auquelle Marie-Thérèse ne s'était jamais résolue. De son côté, la France s'inquiète des visées de l'Angleterre sur leur domaine colonial (Nouvelle-France, Antilles, Indes). En 1755, les Anglais s'emparent de 300 navires de commerce français, puis signent un traité de neutralité avec la Prusse (traité de Westminster, 16-01-1756). Le 1er mai 1756, à Versailles, l'Autriche et la France signent à leur tour une alliance pour contrecarrer la montée en puissance de la Prusse et les visées de l'Angleterre.
La guerre de sept ans se transforme rapidement en guerre mondiale, qui se joue aussi bien en Amérique du Nord qu'en Europe et aux Indes.
En 1761 et 1762, les troupes françaises combattent la Prusse dans les Flandres. En échec, les Français se retirent au niveau de la ville de Cassel, qui est assiégée. Après de nombreuses pertes, ils finissent par se rendre.
Par le traité de Paris, le 10 février 1763, Louis XV met fin à la guerre de sept ans. Il cède aux Anglais la Nouvelle-France (le futur Québec), une partie de la Louisiane, et la quasi-totalité de ses possessions aux Indes. La France ne conserve ainsi plus que Saint-Pierre-et-Miquelon en Amérique du Nord, cinq comptoirs aux Indes (Pondichéry, Chandernagor, Karikal, Mahé et Yanaon), et Haïti. Elle récupère Belle-Ile, la Martinique, la Guadeloupe et des comptoirs en Afrique.
sources :
5 - L'assassinat du duc de Berry
L'ordre royal et militaire de Saint Louis est fondé le 5 avril 1693 par Louis XIV.
Cet ordre est réservé aux officiers militaires s'étant distingués par leur vertu, leur mérite et les services rendus au sein des armées royales. Ils doivent également être catholiques et avoir servi au moins dix ans dans l'armée.
Il leur assure, outre des honneurs, des revenus et pensions, proportionnels à leur mérite.
Les membres de cet ordre se verront remettre une croix d'or à l'effigie de Saint Louis.
Des Grand croix (8), des Commandeurs (24) et des Chevaliers (nombre indéterminé) de l'ordre de Saint Louis ont ainsi été nommés. il s'y ajoute trois officers, un trésorier, un greffier et un huissier. Le Roi en est le Grand maître.
Leur insigne se différenciait par la couleur du ruban auquel était accroché la croix.
L'assemblée annuelle de l'ordre a lieu le jour de la saint Louis, le 25 août.
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sources :
Le dimanche 13 février 1820 au soir, le duc de Berry (neveu du roi Louis XVIII et fils du comte d'Artois, futur Charles X) et son épouse se rendent à l'opéra à Paris. A l'entracte, la duchesse de Berry étant fatiguée, le duc la raccompagne à leur carosse, qui s'était approché de la porte. Le duc de Berry est alors poignardé à la poitrine par un ouvrier cordonnier, Louis Louvel, et meurt peu après.
Le duc de Berry était la seule personne susceptible de donner un héritier à la famille royale. L'assassin est un républicain qui, par ce meurtre, a voulu éteindre la dynastie des Bourbons. Les royalistes, très en colère, s'en prennent aux idées libérales et à la Charte constitutionnelle ; ils accusent de laxisme le président du Conseil, le duc Elie Decazes, qui démissionne. Il est remplacé par le comte Jean-Baptiste de Villèle, représentant des ultra-royalistes.
Quelques mois plus tard, la duchesse de Berry mettra au monde un fils, Henri, comte de Chambord.
sources :
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mise à jour le 16 janvier 2004
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